L’Argent

L’argent est une énergie, qui a du plaisir à circuler entre les générations, les individus, les entreprises, les pays…

Rétribution pour un travail, gain, cadeau, héritage…

Gagner de l’argent, c’est prendre sa part, celle qui nous revient pour réaliser nos projets. Que nous ayons envie de faire le tour du monde en voilier, ouvrir un salon de coiffure, créer une usine, s’arrêter de travailler le temps de se reconvertir, d’élever un enfant, de se reconstruire ou de se soigner, pour écrire un livre, pour étudier, construire une maison, créer une école… : peu importe le projet qui est vivant en nous, il nous faut l’argent (ou ce qu’il permet d’acheter sous forme de troc, d’aide bénévole etc.) pour le réaliser. 

Réaliser ses projets, c’est exister. C’est permettre à ce qui est vivant en nous de jaillir hors de nous. C’est incarner dans les sociétés dans lesquelles nous vivons ce qui nous inspire. 

Ainsi, chacun doit pouvoir prendre la part qui lui revient. Et la part qui lui revient est celle qui lui permet de réaliser ses projets. 

Explorer les croyances, les liens, les freins, les héritages ancestraux dans notre relation à l’argent, c’est faire circuler cette énergie à nouveau. C’est comprendre que notre légitimité à matérialiser nos projets sous des formes concrètes avec les moyens qui existent dans nos sociétés, est entièrement donnée à notre naissance. Parce que nous naissons, nous avons le droit de réaliser. Parce que nous naissons, nous avons la responsabilité d’exister.

Prendre sa part, c’est forcément prendre sa place. Une place qui évolue, qui s’adapte, se transforme dans cette expérience de l’incarnation, de la réalisation de soi. 

Faire l’expérience de l’énergie “argent” en constellation, c’est expérimenter sa nature et faire fondre toutes nos croyances à son égard. C’est cesser de l’aimer, cesser d’en avoir peur, cesser de le détester, cesser de le fuir, cesser de le retenir, cesser de s’en méfier, cesser de l’adorer.

Et si nous prenions tous notre part, et si nous réalisions nos projets, dans quel monde vivrions nous ?

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